Discussion entre joueurs

[Wangrin]

Nous avons fini les trois scénarios du manuel et l'horizon s'ouvre devant nous !

Vous êtes en route vers Villefranche, en compagnie d'Artus de Cossé, seigneur de Gonnor et comte de Secondigny, premier pannetier du roi (et frère du maréchal de Brissac), ainsi que de ses gendarmes. Vous emmenez madame la baronne ainsi que la petite famille d'Adélaïde.

QUOI FAIRE VOUS ?

[Viracocha]

Dans un premier temps se rendre au château de Sanssony et s'assurer de mettre en "lieu sûr" si cela est possible, Antonia, Agrippine, César (le devoir d'abord)! ainsi que la famille de Champenier, avec l'agrément de ma dame (natürlich).

Ensuite, peut-être profiter de la compagnie de messire de Secondigny pour rejoindre le roi?

ou alors retourner auprès du Baron dans sa nouvelle fonction dans le comté de Villeroux pour lui faire part des exactions de Morimont mais ce serait quitter un panier de crabe pour en rejoindre un autre...

"Nein, ich weiss nicht."

Je me tourne vers ma douce Adélaïde qui est bien plus sensée que moi.
J'écouterai évidemment l'avis de messire Hyppolite et celui de Balthazar avec attention.

[sat]

Je suis d'accord avec Johann Wolfgang, pour mettre en lieu sûr la famille du Baron, le devoir de la mission prévaut.

Ensuite, peut-être rejoindre le Roi pour prêter main forte contre ces traitres d’huguenots. Protéger et nettoyer la capitale du royaume de France

Après je suis ouvert à toute proposition que mes compères feront.

[Kaster]

Je suis avec vous depuis bien peu de temps Johann, ainsi, il se peut que je ne vois pas encore toutes les possibilités que vous offre votre statut.

Néanmoins, il est vrai que nous devrions nous concentrer d'abord à ramener la famille de baron à destination.
Ensuite, nous pourrions bien nous diriger vers Paris. Nous serions loin des troubles armés et au coeur de la société française.
De plus, nous pourrions envisager d'organiser notre mariage...
" d'autant plus que je crains que mon père ne perde patience à cause de la situation. Il était très favorable à notre mariage par rapport, notamment, à votre ascendance, mais je crains que les troubles actuelles ne le fasse réfléchir sur son passé de marchand protestant" (murmurai-je)