JDR : quelques définitions

Vous débutez en JdR et vous êtes un peu perdu ? Vous êtes expérimenté mais vous avez une question ? Pas de souci, jetez donc un coup d’œil par ici !
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homep
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JDR : quelques définitions

Message par homep »

Dans un premier temps nous allons définir les grands types d'univers adaptés en jeu de rôle dans le cadre de la SF et l'héroic fantasy.

Les grands types de Science-Fiction

Cyberpunk : Le meilleur de la technologie le pire de l'humanité, capitalisme et technologie invasive, très marqué années 80.
Films : Blade Runner (1982), Robocop (1987), Johnny Mnemonic (1995)
Auteurs : William Gibson, Norman Spinrad (le grand père du cyberpunk, Bug Jack Baron a été écrit en 1969), Walter Jon Wiliams, Georges Alec Effinger

Space Opera : Des histoires de pirates avec l'espace, commence dans les années 30 avec les comics et serial (petits films de 10 minutes diffusés au cinéma) de Buck Rogers, continue dans les années 50-60, on pense le genre mort avec la guerre du Vietnam et la fin de certaines illusions, mais il se relève avec George Lucas et Star Wars en 1977.
Par contre 2 petites notes peuvent être prises :
Un cocorico pour une série française datant de 1967 Valérian et Laureline étant du space op toujours agréable à lire et relativement moderne.
Que dans l'esprit des gens nés dans la seconde partie des années 197... , le dessin animé japonais Captain Harlock - plus connu ici sous le nom d'Albator - a dû constituer un premier contact avec le space opera.

Hard science fiction : On peut parler d'anticipation, c'est un genre de science-fiction dans lequel les technologies décrites, les formes sociétales présentes dans l'histoire et les découvertes ou évolutions ne sont pas en contradiction avec l'état des connaissances scientifiques au moment où l'auteur écrit l'œuvre.
Auteurs : Sir Arthur C. Clarke - coauteur avec Stanley Kubrick du scenario de 2001: A Space Odyssey -; Greg Bear - pas pour tout-

Les grands types de Médiéval fantastique

Heroic fantasty : Dans l'heroic fantasy, les héros sont positifs et font les bons chois moraux, la magie n'est pas intrinsèquement maléfique, les humains ne sont pas forcément la seule race répandue.
Exemple : Le Seigneur des Anneaux de Tolkien en est l'archétype, Films : Le Seigneur des Anneaux (2001-2003) ; Willow (1988)

Sword and Sorcery : Dans le Sword and Sorcery, les héros sont amoraux, brutaux, la magie est intrinsèquement maléfique et la frontière entre les bons et les méchants est plus que grise.
Exemple : Conan de Robert Howard, Le Cycle des épées de Fritz Leiber et le Trône de fer de George R. R. Martin pourrait rentrer dans cette catégorie.
"Bonum ad virum cito moritur iracundia."
La colère d'un homme de bien se dissipe promptement.
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homep
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Message par homep »

Le système de jeu :

Le personnage peut - ou plutôt veut - entreprendre des actions qui sont loin d'être évidentes, c'est là que système de jeu intervient.

Des capacités chiffrées sont attribuées au personnage, permettent de donner ses chances de réussite le système peut être plus ou moins complexe.
Par exemple :
Dirigeant politique dans son pays, Gérard se rend discrètement chez sa maîtresse Ursule, ses gardes du corps partent en éclaireurs, mais des paparazzis à la solde de "Voyeur magazine" sont sur le chemin.
Le meneur de jeu réalise un test de la compétence vigilance des gardes du corps opposé à la compétence se cacher des paparazzis.
En cas de réussite de la part des gardes du corps, ils repèrent les téléobjectifs et peuvent prendre des mesures appropriés - j'ai une faiblesse pour le calbutage -
En cas d’échec ... trois jours plus tard la trottinette du dirigeant apparaît à la une de ce monument de la presse écrite.
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